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mara peinte
Mara peinte par Françoise Guyaux

MARA TREMBLAY
CHANTE PAULINE JULIEN À MONTRÉAL
ET AVEC «TOUTES LES FILLES» EN ABITIBI

aussi :
LES 25 ANS DES FOUFOUNES ÉLECTRIQUES
et LE RETOUR DE NOTRE SECTION BD
plus, VISITE DE LA GALERIE GORA
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: : Le mois prochain , on jam avec un jazzmen band, my friend ! Et à part ça, aucune idée de quoi c'est qu'on va parler. Revenez nous voir ! Peu importe ce que ça sera, ça sera bon parce que... (ahum) parce qu'on sait pas faire autrement :) : :


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MARTEENE

MARA TREMBLAY
Chante Pauline Julien à Montréal
le 8 novembre 2008
et avec «toutes les filles» en Abitibi

du 26 au 30 octobre 2008

MARTINE GUILLEMETTE-MILLEVILLE

mgm@marthiii.com


mara enceinte
Ilustration d'après une photo prise au lancement d'album de Damien Robitaille


PLANETE 117 CITATION DU MOIS :
Il n'y a pas d'amour sans peine, et pourtant, depuis l'aube du temps les gens s'aiment. [Salvatore Adamo]

Aller chez Mara, c'est avoir rendez-vous avec des valeurs simples: la famille, la communication, la tolérance, l'harmonie, l'art, même dans sa forme la plus quotidienne, l'amour... Au salon, la Wii «Rock Band» de Victor, son grand garçon de douze ans, trône en maître; par terre, les jouets d'Édouard, son p'tit dernier traînent ça et là, et sur la table de salle à diner, son linge à plier. Rien à voir avec le tapis rouge, les cliquetis et le tralala du star système. Mara, c'est avant tout une maman. Une maman célèbre, certes, mais bien «groundée».

rita tremblay
Une plaque commémorative du «Triangle Artistique», sur le mur près de la salle à diner,
souligne l'apport de la grand-mère de Mara aux beaux-arts du Saguenay-Lac Saint-Jean.

 

Nous sommes à table avec les deux garçons et Thomas, le jeune frère de Mara, à discuter de tout de rien... De l'école, de nos origines, des amis, de la famille quand la porte s'ouvre. Mara s'emballe : Ah! C'est papa! Tu connais mon père?

- Je connais son bar et sa recette de sauce à spaghetti, mais j'avoue que je ne connais pas l'homme.

- Je vais te le présenter, tu vas voir, y'est super!


Le papa, fondateur du fameux bar L'Inspecteur Épingle à Montréal et héros de la chanson de sa fille «Le spaghetti à papa» entre et m'offre une solide et amicale poignée de main. Il vient installer la hotte de cuisinière de sa fille:)

 

*****************************************


Mara enceinte en spectacle. Une énergie rare!


Le Spaghetti À Papa
Paroles et musique : MARA TREMBLAY

Une chance qu'y a le spaghetti - Pour nous sortir de l'ennui
Quand y a pus rien à manger - C'est toujours bon d'se rappeler
C'est mieux le spaghetti à papa - Qu'une assiette de viande hachée - Juste assez chaude

Du boeuf haché maigre - D'la pâte de tomates - Des tomates étuvées - Du jus d'tomates
Du céleri, des champignons - Des carottes si tu veux
Des olives kalamata - Du vin rouge, du poivre, du sel
Des piments rouges forts - Pis des oignons coupés

Tu prends une casserole - Tu mets du beurre dedans
Ou de l'huile d'olive vierge - Si t'aimes ça moins gras
Fais rôtir la viande - T'a brasses un p'tit peu - T'a défais pis a brunit - Pis tu mets les oignons

Tu mets les tomates - La pâte de tomates - Le jus d'tomates - Le vin avec les tomates

Les tomates étuvées - T'es laisses pas rondes - En brassant y vont se démancher
Les champignons - T'es coupes pas t'es laisses ronds
C'est ben plus beau - C'est ben plus bon - Tu sens beaucoup - Tu goûtes beaucoup
Attention de pas brûler - Ta lèvre d'en haut

Tu mets les carottes - Et le céleri en premier - C'est les olives - Que tu mets en dernier
Les champignons - Si tu veux garder leur forme
Faut les mettre en dernier - Sinon y ratatinent

Fais bouillir le feu bas - Couvert ça fait pout pout pout

Quand ça sent bon - Dans la maison - Ça veut dire - Que c'est prêt à manger
Quand ça sent l'brûlé - Ça veut dire - Que c'est pogné au fond
Que ta sauce tu l'as manquée

*****************************************

 

monsieur Tremblay et mara jeune
En haut, une photo de Monsieur Tremblay, père de Mara et en bas,
une photo de Mara (à gauche), plus jeune, avec ses petites cousines.



Mara : J'ai travaillé quelques mois au bar de mon père. À l'époque, j'avais même pas l'âge, mais je crois que ma famille et moi, on a un point en commun : on ne fait jamais rien de manière trop conventionnelle! L'Inspecteur Épingle, c'est né du fait que Plume Latraverse avait surnommé mon père «l'Épingle», parce qu'il était maigre! Plume est un bon ami de papa. Ma mère avait, comme mon père, toujours le coeur à la fête elle aussi, j'ai eu une chouette enfance! Pas pour rien que j'ai toujours aujourd'hui cet esprit-là... J'aime le «rock», même si maintenant, je me vois davantage comme une... «chanteuse d'amour»! L'amour, c'est mon moteur, qu'est-ce tu veux... Bref, quand j'étais petite, y avait plein d'artistes à la maison, on était souvent en party. Chez nous, les p'tits, on les traite pas comme des bébés, ils font partie de «la bande», comme les adultes. De toute façon, même si c'était souvent la fête chez moi, il y avait beaucoup de respect et tout le monde entretenait des relations très harmonieuses. Aujourd'hui, bien que je vive une vie bien plus calme que celle de mes parents, je transmets ces même valeurs à mes deux garçons. Je crois que c'est beaucoup pour ça qu'ils sont aussi articulés, tant dans leur pensée que dans leur manière de l'exprimer. Le monde adulte ne les effraie pas.

Marthiii : T'es arrivée à quel âge à Montréal au juste? Parce que t'es née au Lac St-Jean toi, non?

Mara: Noooon!!! Papa est originaire de Chicoutimi, un Tremblay (dit-elle avec un sourire entendu), mais moi, j'suis née à Hauterive (maintenant Baie-Comeau). Mon père enseignait les arts plastiques à une école secondaire de la Côte-Nord à l'époque. Je retourne régulièrement dans ce coin de pays, d'ailleurs, j'y ai beaucoup de famille, des tantes, des oncles, un cousin... Mon grand-père y vit toujours aussi et je suis très près de lui. Quand j'étais petite fille, il m'emmenait pêcher le crabe et la morue! C’est intense et dur sur les bras pêcher la morue! Ça se pêche sans moulinet, en tirant la ligne directement avec les mains. Ça prend des bons gants, c’est du sport! 'Faut dire que Baie-Comeau, c'est un endroit riche en fruits de mer. Là-bas, le fleuve est tellement large qu'on voit pas l'autre rive. L'air est salin et le paysage est magnifique! Très dur, froid, aride, pis de la neige, quin, de même! Mais franchement, je suis estomaquée par la nature de là-bas à chaque fois que j'y vais. L'air marin est vraiment hallucinant, c'est ce qui frappe le plus. Je garde des souvenirs tendres de cette région-là, où j'ai passé la première partie de ma vie.

 

monsieur Tremblay et mara jeune
Mara petite avec sa mère



Marthiii : Et pis t'es arrivée en ville à quel âge, donc?

Mara : À six ans. En arrivant à Montréal on m'a inscrite à l'école du Plateau où j'ai appris le violon, comme mon père, qui en jouait un peu. Alors de fil en aiguille, j'ai fini par m'abandonner complètement à la musique. Un jour, de retour d’une année passée au Burkina Faso avec ma mère, j'ai eu l'opportunité d’accompagner à la basse mon oncle Jean-Alain Tremblay à l'Empire des futures Stars. Mon oncle, c’est un excellent musicien, très théâtral et extravagant surtout! On a donc participé et c’est là que j'ai rencontré le chanteur de Lard Bedaine, Jean-Noël Bodo, qui m'a invitée à joindre son groupe.

Marthiii : T'avais quel âge à cette époque?

Mara : J'avais dix-neuf ans et tout à apprendre! On a tourné à Musique Plus et on donnait souvent des shows au Foufounes Électriques. C'était avant que j'adhère au groupe Les Maringouins avec qui je suis restée deux ans... jusqu'au jour où Dédé (Fortin) m'a appelée pour me demander si je voulais jouer du violon au lancement de son premier album avec les Colocs. Cet appel-là a été assez déterminant dans ma carrière.

Marthiii : Oui parce qu'après ça, t'as été souvent invitée à jouer avec les Colocs?

Mara: Ben mets-en! J'étais tout le temps là. Deux années de tournée avec eux, mais... Je faisais pas «partie» du band.

Marthiii : ...

Mara: ...

 


En spectacle avec les Colocs  



Marthiii : C'était comment les tournées avec quelqu'un comme Dédé?

Mara : (moment de réflexion)... Intense. C'est pas mal le seul mot qui me vient à l'esprit quand je pense à Dédé. C'est pas facile de parler de lui. Mais côtoyer les Colocs, chaque jour, ça a été vraiment une expérience, disons, haute en émotions. J'étais la seule fille qui jouait avec eux alors j'ai souvent servi de soupape, de confidente, tantôt pour Dédé, pour Mononc'Serge, tantôt pour Mike ou Pat. Y avait pas un membre du groupe qui était pas sur des charbons ardents! Sans doute pour ça que ça restera toujours un groupe culte... On ne connaissait pas le sens du mot «modération».

Marthiii : Après ça, ça a été l'aventure avec les Frères à Ch'val?

Mara: Ouiiiii! D'autres intenses! Entre les Colocs et les Frères, j'ai été choriste pendant deux ans pour Nanette Workman, mais avec Thibaud et Polo, pour la première fois, je prenais enfin ma place musicalement. Ça a été génial, les Frères, pour mon épanouissement professionnel. Ça a été mon premier vrai band, en fait, et ça a marché au boutte! J’veux dire on tournait partout, à la radio, dans les bars, les festivals! On a ri en maudit ensemble, c’était hyper agréable! Même dans l’adversité, quand certains membres du band s’entendait pas, on finissait toujours par en rire!

 


Toune inédite avec les Frères à Ch'val  

Frères à ch'val
Quelques photos souvenirs de la collection personnelle des Frères à Ch'val



Marthiii : Et qu’est-ce qui a mis fin à votre union?

Mara : Ben... Thibaud est parti, moi j’ai eu Victor... Les circonstances ont fait qu’il était temps que je quitte pour autre chose.

Marthiii : Et après? Ça a tout de suite été ton premier album Le chihuahua?

Mara: Après notre séparation, Patrice Duchesne, qui travaillait alors chez Audiogram m’a offert de s’occuper de ma carrière solo. J’étais un peu craintive, j’étais pas équipée pour faire un album toute seule! Je lui ai demandé si c’était possible d’avoir juste une console 8 pistes, question de faire de quoi qui avait un peu de coffre. Il est arrivé avec le gros équipement d’enfer avec 32 pistes pour m’amuser! J’en ai profité!!! Le Chihuahua est né de même... J’ai presque tout fait toute seule, sauf les solos de guitare. Mike Sawatzky des colocs m’a recommandé un jeune virtuose qui n’avait que 17 ans à l‘époque: Olivier Langevin. J’ai capoté ben raide sur lui! On a vraiment communié musicalement lui et moi, ça a marché au fond! Si bien que je travaille toujours avec lui à ce jour. Sur cet album, à la réalisation, Olivier et moi avons travaillé avec Fred Fortin et François Lalonde, des Frères à Ch’val. C’est Pierre Girard qui mixe encore mes albums.

Marthiii : Bien ancrée dans ton temps, tu as une manière bien lucide de «chanter l’amour». On s’y retrouve et on a l’impression que tu sais exprimer ce que beaucoup de femmes vivent aujourd’hui face aux échecs amoureux. En ce sens, tu définirais tes abums comment?

Mara: Je dirais que Le chihuahua c’est «j’ai de la misère avec l’amour», Papillons, c’est «voyons, pourquoi donc que ça marche pas l’amour» et que Les Nouvelles Lunes, c’est «faire la paix avec l’amour»!

:)




«Le chihuahua», tiré du premier album du même nom. Dans les bons clubs montréalais, comme on dit chez nous : «Ça déménage en sale»!

 



«Elvis», tiré du deuxième album, Papillons

 


«Grande est la vie», extrait du troisième et dernier album Les nouvelles lunes  




Marthiii : Et ton prochain album, sur lequel tu travailles en ce moment? Ça va jaser de quoi?

Mara: Ah! Ça c’est un secret! Mais oui! Ça va parler d’amour!

Marthiii : Entre chacun de tes albums, t’es invitée partout, on entend toujours ton nom quelque part t’as l’air toujours occupée. Ça ressemble à quoi tous ces mandats?

Mara : Ces dernières années, j’ai été retenue pour des interprétations de toutes sortes avec un tas d’autres artistes. J’aime beaucoup ça travailler «en gang», c’est enrichissant à plusieurs niveaux et ça m’a permis entre autres de développer le chant, ça m’a donné confiance en la singularité de ma voix... C’est chaque fois une expérience nourissante de travailler avec d'autres artistes.

Marthiii : En ce moment, tu travailles sur un spectacle-hommage à Pauline Julien, PAULINE À LA PAGE. Tu voudrais nous en parler?


pauline julien
PAULINE JULIEN (1928-1998)

Mara : Oui, c’est Nelson Minville qui m’a approchée, tout simplement, pour interpréter deux chansons! Je fais «Ce soir, j'ai l'âme à la tendresse» et «Déménager ou rester là», un texte de Réjean Ducharme et une musique de Robert Charlebois. Celle-là, c’est un bon défi parce que c’est vraiment riche comme pièce, mais je suis bien entourée et on a passé toute une semaine à pratiquer à plein temps. C’était la première fois que je participais à une résidence d’artistes et j’ai beaucoup aimé l’expérience! J’ai passé une semaine complète à monter le show avec Pierre Flynn, Monsieur Mono, Viviane Audet... c’était vraiment stimulant. Pauline Julien, je la connaissais un peu mais j’ai beaucoup appris sur elle en montant le spectacle. Je suis vraiment tombée en amour avec elle! J’ai fini sa bio en peu de temps, je l’ai dévorée... Cette femme-là en a tellement fait pour l’identité québécoise, surtout en Europe où on l’a reconnue bien avant qu’on le fasse ici, c’est hallucinant. Elle s’est battue pour les femmes, pour la justice et à sa mort, on n’a pas vraiment souligné tout son apport à la société. Dix ans plus tard, on se rattrappe et on donne un spectacle très touchant. À la première, en septembre dernier, ses enfants sont venus voir le show. Ils étaient émus et enchantés... On a eu des bons «feedbacks»! On s’est dit qu’on avait fait du bon travail.

Marthiii: À quoi on peut s’attendre à Outremont le 8 novembre?

Mara : À beaucoup d’amour!!! Pauline Julien était une belle femme au tempérament éclaté, mais elle était avant tout une grande artiste. Dans ce show-là, on sent vraiment sa présence! C’est pas juste un hommage pour elle, pour son oeuvre, c’est aussi une belle rencontre entre artistes, pleine de chaleur et d’émotions.



toutes les filles
TOUTES LES FILLES (EN PARTIE) (de g. à. d. : Catherine Major, Ginette, Catherine Durand et Mara Tremblay)


26 oct. 2008     20:00 - Toutes les filles
Cabaret de la dernière chance - Rouyn, Québec
27 oct. 2008     20:00 - Toutes les filles
Cabaret de la dernière chance - Rouyn, Québec
28 oct. 2008     20:00 - Toutes les filles
Théâtre des Eskers - Amos, Québec
29 oct. 2008     20:00 - Toutes les filles
Salle Félix-Leclerc - Val D’or, Québec
30 oct. 2008     20:00 - Toutes les filles
Salle A-Chénier - Ville-Marie, Québec

8 nov. 2008 - 20:00
PAULINE À LA PAGE
Théâtre Outremont - Montréal, Québec
1248, avenue Bernard Ouest, Outremont, Québec, H2V 2V6
Téléphone: 514 495-9944
VISITER LE SITE OUAIBE >>



28 nov. 2008     20:00 - Toutes les filles
Palais Montcalm - Québec, Québec


Quelques oeuvres de Françoise Guyaux qui tapissent les murs de chez Mara.

VISITER LE SITE DE L'ARTISTE? >>

ÉLÉPHANT





MARTEENE

Les 25 années des
FOUFOUNES ÉLECTRIQUES

J'y étais et j'y serai sans ma mère dans 6 ans!

PAR MORGANE LAMOTHE ::
École Lambert-Closse :: Montréal :: 6e année

PROPOS RECUEILLIS


PLANETE 117 CITATION DU MOIS :
Quand je sors du bistrot, je marche de travers... Il faut que j'arrête les chips au crabe. [Patrick Sébastien]

Le 28 septembre dernier, je suis allée au 25e anniversaire du bar les Foufounes Électriques. Les Foufounes Électriques, c'est là que les premiers punks se sont retrouvés à Montréal, parce que «personne ne voulait d'eux ailleurs». C'est ça que m'a dit François Yo Gourd qui a fondé les Foufs avec aussi Normand Boileau et Bernard Paquette en 1983. Au début, ils ont pensé ouvrir un bar parce qu'ils avaient besoin d'un espace pour créer et pour créer des événements comme des peinture en direct, des parades de mode originales et aussi pour présenter toute sorte de spectacles pas ordinaires.

 

25e anniversaire des foufs


Ça, c 'est Fred O.! Il met tellement de peinture sur ses toiles qu'elles se regardent
dans tous les sens, comme une sculpture! En plus il est super gentil !!!

 

Pour ses 25 ans, les Foufounes Électriques ont organisé un peinture en direct qui mettait en vedette plusieurs des peintres qui ont marqué l'histoire de l'établissement : Zilon, Demers, Annie-Claudine Tremblay, Thibaud de Corta, Armand Vaillancourt, Fred O., Patricia Walton, Bob Desautels, Caro Morno, Ben97...

Moi, c'est Zilon, Demers et Annie-Claudine Tremblay qui m'ont le plus épatée! Je ne connaissais pas Zilon, mais j'ai adoré sa toile! Il l'a d'ailleurs vendue 600$ à l'encan, à la fin de la soirée, j'étais contente pour lui! Sauf que, à ce qu'il paraît, une toile de Zilon à 600$, c'est une aubaine. J'aimerais voir son atelier et savoir combien il vend ses toiles d'habitude!

zilon
ZILON

demers
DEMERS

annie-caudine tremblay
ANNIE-CLAUDINE TREMBLAY

En tous cas, ça me donne envie de continuer à peindre et à dessiner pour vendre mes toiles dans ces prix-là quand je serai grande! En me promenant entre les artistes, pendant le Peinture en direct, j'ai regardé comment ils faisaient et j'ai appris un tas de techniques. Ma prochaine toile, je vais la faire comme Demers fait. J'ai trouvé un truc de lui sur Youtube où il nous montre un peu de sa démarche. La voilà :

En tous cas, j'espère bien que les Foufs vont rester ouvertes encore longtemps parce que c'est juste dans 6 ans que je vais pouvoir y aller toute seule. Moi aussi j'aimerais ça participer aux peinture en direct et exposer dans la Galerie des Foufs.

ATTENDEZ-MOI ! >> prés

 

 

MARTEENE
LA GALERIE GORA
Un incontournable bastion d'art contemporain à Montréal depuis 1994!

MARTINE GUILLEMETTE-MILLEVILLE

mgm@marthiii.com

PLANETE 117 CITATION DU MOIS :
Il n'y a pas en peinture de solution parce qu'il n'y a pas de problèmes. [Jean Bazaine]

Pour son ambiance éclectique, paradoxalement sobre et insolite, pour les artistes délirants qu'elle y présente, variant de la palette pop art (Mackinnon, Katch, Lengele) à l'influence impressionniste (Lustig, Gordon, Ruspini), expressionniste (Tollak, Lewis) ou cubiste (Patanian, Oliveira) on vient de Tokyo, de Londres, de Paris ou de New-York pour la visiter.

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Qu'on soit acheteur averti, amateur de beaux arts ou à la recherche d'un endroit absolument hors du commun pour un événement, la galerie offre un espace de 8 500 pieds carrés gorgés de plus de 300 oeuvres audacieuses, en plein coeur de l'activité culturelle montréalaise.

On y propose une foule de forfaits adaptés à votre événement, soit-il culturel, corporatif ou d'ordre social...

Les images qui suivent parlent d'elles mêmes, je vous invite vivement à visiter l'endroit en visionnant ce qui suit.

 

 

Pas étonnant que la plus belle et la plus grande galerie d'art de la ville ait été choisie par Microsoft, Mange ta ville, Alliance NumeriQC ou Yahoo Québec, entre autres, pour leurs occasions mondaines: les événements «clé en main» qui y sont organisés sont des plus courus de la métropole et... Fréquenter l'endroit seulement atteste d'un chic fou!

Visitez le site >>
http://www.gallerygora.com

GALERIE GORA
279 Sherbrooke Ouest, #205
Montréal, QC., CANADA H2X 1Y2
TÉL: (514) 879.9694
FAX: (514) 879.0164
art@gallerygora.com

 

 





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