| archives | : : | Page couverture | :: MONTRÉAL : : ROUYN-NORANDA : : NATASHQUAN : : TORONTO : : NEW-YORK : : | VOL II #3 : : mars-avril 2008 |

 

 

 

DANS CETTE SECTION...
'FAUT PAS CHERCHER À COMPRENDRE QUELQUE CHOSE.

CE MOIS-CI, SUCCÈS SOUVENIR
DE L'UN DE NOS FOUS FAVORIS,
L'INIMITABLE
DAVE ASH.

À NOTER QUE GHISLAIN TASCHEREAU A LANCÉ SON NOUVEAU SITE, TVPT ET QUE NOUS VOUS INVITONS À Y SUIVRE
SES TOUTES NOUVELLE GNIAISERIES.


Oui, mais c'est qui ça Ghislain Taschereau?

 

Eul parti Néorhino cherche un anglais (pourquoi pas Dave Ash?) Basile Pachkoff cherche à faire évoluer un peu l'homme moderne, et tous ensemble, on cherche tout le temps la paix dans le monde. On va finir par l'avoir!

LE FOUTOIR ou l'aile des fous


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LE P'TIT COIN
du parti Néorhino

François Yo Gourd
Chef du Parti Néorhino, Canada


Lire aussi BASILE PACHKOFF >>

Écrire à François


CITATION DU MOIS :
Le problème avec la folie des grandeurs, c'est qu'on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie. [ Quino ]



Chers concitoyens, concitoyennes, la réfolution spéciale est à notre porte.
Laissons-la entrer

DERNIER 5 À 7
NÉORHINO
à noter que depuis cette réunion, le parti Néorhino a trouvé
son fameux candidat anglophone en la personne de Monsieur John Turner.
Ça ne pouvait pas mieux tomber, Félicitations!

casa obscura
coin papineau-rachel

 

Salut absurdes réfolutionnaires

Malgré la neige ne perdons pas espoir
de voir les bourgeons et les petits colibris envahir notre coeur.

Ne cessons jamais notre résistance devant les bottes de fer.

Les jeudis, à la casa obscura, nous faisons des petits 5 à 7 de discussion, d'évolution.

Nous tenons le fort et la bière.
Nous fumons le calumet de la paix.

Alors venez prendre un verre avec nous
et nous dire ce que vous pensez de la situation.

Manifestons pour la paix.
On veut qu'ils nous foutent la paix.

Give peace a chance.

Salut

François Yo Gourd, imbécile heureux

 

9e édition du
SYMFOLIUIM
Organisé par François Gourd
1er avril 2008

Symfolium_Gourd

Tout ça sur le site neorhino.ca


Devenir ministre
Par François Gourd
Paru dans Bang Bang le 12 mars 2008

Les politiciens sont devenus des lavettes qui pensent plus à leur salaire qu’à leurs convictions politiques. Ils accordent plus d’importance aux sondages qu’au bien commun des Canadiens. La valse des hésitations électorales manque de rythme. On veut des élections qui sont de performances artistiques. Il faut transformer chaque politicien en artiste en les aidant à libérer leur créativité sans toujours être bandés sur le rendement économique. Leur apprendre à être gratuits, à faire des choses pour le plaisir et la vie. Leur apprendre à devenir des êtres qui se libèrent des besoins ridicules du paraître. Qu’ils cessent de se shooter du botox dans l’anus afin de pouvoir péter plus haut que le trou. Les élections doivent être des fêtes où les citoyens parlent, écoutent et dansent. Cette grande cérémonie où ils vont se prononcer sur des lois ou choisir des équipes qui auront à cœur le bonheur de tous. Nous préférons avoir la gueule de bois plutôt que la langue de bois. La démocratie doit être le jeu de la parole au peuple où les bulletins de vote sont des œuvres d’art aux allures de Pellan, Riopelle, Zilon ou Valium.

Développer une conscience collective, c’est arriver à trouver ensemble ce que nous voulons accomplir, ressentir et vivre. Se poser des questions et tenter de trouver des réponses. En fait, il s’agit de penser et d’échanger sur les sujets que nous croyons essentiels à la survie de l’humanité. Une notion d’urgence s’installe au fond de nos vies. Notre monde est malade et la fin du monde est devenu un sujet in. Notre chemin est celui des bouffons du maquis qui ont jalonné l’histoire de l’humanité: Diogène, Aristophane, Érasme dans Éloge de la folie, Molière, Jodorowsky, Breton, Gauvreau et d’autres illuminés qui ont laissé des miettes d’espoir dans le labyrinthe de cette société morbide. «We want the world and we want it now.»

Être heureux est la chose la plus révolutionnaire que je puisse faire, disait Patch Adams. Alors notre premier devoir est d’être heureux pour ensuite aider les autres à retrouver le bonheur perdu dans ce système de consommation. Reprenons les mots liberté, justice, amour et égalité, mots qui ont été détournés de leur sens par l’oligarchie de la publicité. Dépensons moins, pensons plus. Se regarder dans le miroir et voir une personne qui peut changer des choses dans ce monde pourri. Créer une histoire dont vous êtes le héros. Il faut prendre la parole et crier fort ce qu’on a dans les tripes, comme un chanteur punk ou une sirène de chantier.

Dans une lettre officielle datée du 26 juillet 2007, le directeur des élections du Canada dit que la nouvelle loi autorise n’importe qui à aller faire campagne dans les centres d’achat. «La Loi confère aux candidats et à leurs représentants un droit d’accès aux bâtiments, aux terrains, aux voies publiques et à d’autres lieux ouverts gratuitement au public. Les nouvelles dispositions prévoient une infraction pour les responsables d’un lieu public, comme un centre commercial, d’empêcher un candidat ou ses représentants de faire campagne lorsque l’endroit est ouvert gratuitement à la population. Ce droit d’accès existe pour tous les candidats, peu importe leur allégeance politique ou les idées qu’ils préconisent. […] Les personnes qui enfreignent ces règlements s’exposent à une amende pouvant aller jusqu’à 2000$ ou à un emprisonnement maximal de six mois, ou les deux.» Alors imaginez tous les musiciens, chanteurs, poètes ou comédiens allant présenter leur campagne-spectacle dans tous les centres d’achats, universités, cégeps, églises, métros, résidences pour vieux, etc.

Je suis le fou qui tente de réunir les princes et les sorcières afin de former un cercle, un bouclier pour résister à la bêtise. Je suis le tendre qui répand sa rumeur sur l’oreiller de la terreur. Je réfléchis comme le soleil, en répandant des pensées douces et des odeurs de miel sur le pavé de la réfolution. La folie a installé son hamac dans ma vie. La quête du fou se poursuit en tentant d’inventer la vie au fur et à mesure. Le foulosophe se retrouve seul dans l’urne qui contient les cendres du passé. Il ferme les yeux et cherche le contact avec les grands humanitous qui ont durant des siècles guidé la horde vers l’espoir d’un monde meilleur. Le fou dessine sur le sable l’île de ses rêves. Il reprend confiance par plaisir, par dépit. Être heureux par devoir… Il crée, c’est tout ce qu’il sait faire. Il crée un conte pour tous. Il forme un parti politique en tentant de lui insuffler une évolution. ¡Viva La Evolución!

Si la planète éclate, nous aurons au moins pu lancer notre cri de ralliement, notre cri du cœur. Le fou veut éliminer l’armée en la transformant en une horde de création. En remplaçant les fusils par des pinceaux, nos braves jeunes parcourront le monde en aidant les poètes, les musiciens et les artistes. Un parti qui veut partager la richesse en proposant le revenu minimum garanti déjà proposé par le très honorable Michel Chartrand. En taxant toutes les compagnies hors-la-loi qui se réfugient dans les paradis fiscaux, nous créerons pour les gens un paradis sur terre au Canada. Paradis fiscal, enfer social. Le parti proposera le démantèlement du gouvernement canadien et l’indépendance de chacune de ses provinces qui ensuite se réuniront autour d’un pichet de bière. Se libérant ainsi de tous les parasites qui ont mené nos pays à la banqueroute. Le Québec, une fois indépendant, s’activera à exploiter sa plus grande richesse naturelle, sa créativité. Des raves, des récitals de poésie, des festivals de musique, de théâtre et de cinéma seront autogérés par la population. Les gros lots du rire et du jazz seront redistribués aux comédiens et aux musiciens. Le parti propose l’éducation totalement gratuite. Des régimes de santé seront présentés afin d’éradiquer l’obésité qui prend plus de place dans nos autobus. J’ai envie de voir un VLB plein d’espoir.

Je suis toutiste et je crois en tout. De Dieu à Bouddha, de Zeus à Thor, à Hermes, à Isis, au Soleil, à la Vie. Je crois en l’infini. Je crois au Québec où tous seront égaux. Je ne suis pas aux hommes ni aux femmes, je suis odieux!

François Yo Gourd, V.I.P. Véritable Idiot Professionnel


 


LE TEXTE
À BASILE

Direct from Paris

BASILE PACHKOFF

Ambrassadeur Néorhino en France
Développeur Marthiiien, aile européenne et...
Organisateur du Carnaval de Pantruche
Paris, France

basileparis@free.fr


 
L'émancipation masculine

 

adam

Dürer, Albrecht

Au cours des dernières décennies, la femme a fini, en France et à Paris, de s'émanciper.

J'ai eu13 ans en1964. J'étais un très jeune homme parisien, très naïf. Je ne sortais alors dehors que accompagné par ma mère, excepté pour aller dans la cour ou les petits commerces de proximité.

Vers cette époque, j'ai fait, dans mon quartier, une découverte qui m'étonnait et intriguait : Quand, dans la rue, je croisais une jeune fille ou jeune femme, bien plus âgée que moi - qui était presque encore enfant, - je pratiquais un jeu que j'avais inventé. Je la regardais droit dans les yeux.

Systématiquement et inexplicablement, elle les baissait précipitamment.

Exceptée une jeune fille ou jeune femme sur sept ou huit, qui soutenait mon regard.

Aujourd'hui, quarante-trois ans plus tard, si je regarde, droit dans les yeux, une jeune fille ou jeune femme inconnue, dans Paris, elle ne s'affole pas, soutient mon regard, puis détourne le sien. Ce qui signifie, selon les codes relationnels en vigueur, qu'elle refuse un contact supposé de drague.

Les temps ont changé. Hier, alors que je quittais à peine l'enfance, je faisais peur.

Baisser les yeux précipitamment marque la soumission. Aujourd'hui, les femmes et jeunes filles s'affirment.

Elles ont acquis, en quarante et quelques années, leur indépendance matérielle et morale.



L'homme, lui, a été congédié de son poste de “seigneur et maître”.

Il n'a toujours riencompris (ou persiste à vouloir nier la réalité de sa chute du rôle de “mâle dominant” à celui de pénible caricature de celui-ci).

Il lui faut avaler des couleuvres :



¤ Reconnaître que la femme est libre et indépendante.

¤ Que le sexe, qui fut, pendant des milliers d'années, son instrument de terreur, d'asservissement et de domination de la femme, n'est plusqu'un élément relationnel parmi d'autres. Son“ pénis-canon” trouve sa place au côté des vieux canons en bronze qui
prennent la poussière dans les cours du Musée de l'Armée, aux Invalides. Ce sont des curiosités, qui répandaient hier la terreur et, à présent, ne font plus peur à personne.

¤ Que la femme est, sexuellement, très largement supérieure à lui.


pantruche_paris1
Photo prise lors du Carnaval de Paris, Les Fumantes de Pantruche 2008

L'acte sexuel ne fatigue pas, mais requinque une femme. Elle peut jouir autant de fois qu'elle veut d'affilée. Elle dispose pour cela de six OPJ, Organes Principaux de
Jouissance: la bouche, la pointe des seins, le clitoris, le vagin et, enfin, si elle en a
envie et que ça ne la dérange pas : l'anus. D'une façon générale, elle est,
corporellement, beaucoup plus sensible que l'homme.

Ce dernier, de son côté, dispose juste d'un seul OPJ, unique, fragile et capricieux: le pénis.

Il tremble à l'idée de ne pas parvenir à l'érection, puis à l'éjaculation et enfin, à la
jouissance, lors de celle-ci.

L' éjaculation- qui lui est déconseillé à la veille d'une compétition sportive, - pourra le fatiguer, voire l'épuiser complètement.

De toutes façons, il sera incapable de jouir à nouveau avant un laps de temps allant depuis vingt minutes, au moins, jusqu'à plusieurs heures.

Sexuellement parlant, la femme est, indéniablement, le sexe fort. L'homme est le sexe faible.

Et ça, l'homme aura la plus grande difficulté à le reconnaître.

 


INTERMÈDE

quelques images
du dernier carnaval organisé par Basile



Qu'est-ce qui a permis
l'émancipation féminine ?


adam
Dürer, Albrecht

Certains l'attribuent au fait que la femme se serait mise à travailler (dans les années 70, une publicité d'agence de travail temporaire proclamait, sur de grandes affiches, dans le métro parisien et sur les murs de Paris: “Année de la Femme : La femme a changé, elle veut travailler”).

D'autresinvoquent comme raison, l'apparition de la contraception orale. On évoquera aussi le phénomène de la “libération sexuelle” (ou “révolution sexuelle”).

Le premier argument est faux et calomniateur. La femme a toujours travaillé. Tout en l'utilisant comme objet sexuel et la terrorisant, l'homme n'a pas manqué de l'exploiter largement dans la production. Jusqu'au début du siècle dernier, l'écrasante majorité de la population est composée de paysans et paysannes. Ces dernières ont toujours travaillé dur, tout en étant réduite à la condition féminine générale, bafouées, méprisées et dominées par les hommes.

Dans différentes branches de métiers, les femmes travaillent en grand nombre, depuis fort longtemps. Elles lavent le linge dans les lavoirs industriels, apprêtent les sardines dans les conserveries, trient le charbon dans les mines, travaillent dans les filatures, sont réduites en esclavage dans les maisons de prostitution.

Systématiquement promises à des emplois dépourvus de qualifications, pas considérés, pénibles et mal payés... au côté des esclaves et travailleurs salariés masculins les plus misérables.

Il y a cent-dix ans environ, apparaissent les premières femmes parisiennes admises aux Beaux-Arts, à faire médecine ou Droit.

Cela fait soixante et un an seulement, qu'elles peuvent devenir députés.

Et durant les dernières décennies, on les a vu accéder à d'autres professions: facteur, commandant de bord dans les avions, machiniste, conducteur d'autobus, camionneur, commissaire de police, officier, etc.

La féminisation partielle de la police et la Justice, a rendu celles-ci enfin attentives aux violences sexuelles commises contre des femmes ou des enfants.

L'apparition des femmes dans nombre de professions, qualifiées ou non, n'a pas causé leur émancipation, mais est une conséquence visible de celle-ci.

Il y a quarante-cinq ans, une loi autorisait les femmes mariées à ouvrir, enFrance, un compte- chèques à la banque, sans être obligée de demander et obtenir l'autorisation préalable de leur mari.

Il y a une quarantaine d'années, le propos couramment rapporté par la presse est attribué à nombre d'hommes mariés : “ça me gênerait si ma femme gagne plus que moi en travaillant”.

Beaucoup de femmes, aujourd'hui, en France, à qualification égale, gagne toujours jusqu'à trente pour cent de moins que leurs collègues masculins.

En1963, le lancement du“monokini”(sorte d'hideuse culotte de bains à bretelles croisées) a fait naître la mode, vite réprimée, des seins nus, sur les plages françaises (ceux des femmes, les hommes se sont octroyés, pour eux, cette liberté depuis 1914).

Un journaliste interrogeait alors un homme, sur une plage: “ça ne vous gêne pas que d'autres hommes que vous puissent voir les seins nus de votre femme ?”

Sous-entendu, l'image-même de votre femme est votre propriété.

Quand, en1974, la pilule contraceptive commence à être effectivement autorisée en France et que débute sa vente en pharmacies, dans la presse, certains hommes s'écrient, affolés: “Attention! C'est très grave !!! Nous allons perdre le pouvoir de décider quand l'enfant va arriver !”

Je ne comprenais pas alors le sens de leur panique, qui me paraissait étrange et incompréhensible.

J'aurais certainement mieux compris s'ils avaient été plus direct et sincère, en disant : “nousallons perdre le pouvoir de terroriser la femme, avec la menace d'une grossesse non désirée, entraînant un avortement clandestin, dangereux et bricolé”.

On a souvent voulu faire de la pilule l'origine d'une libération féminine qui serait autant dire sexuelle.

Vers l'époque de mai 1968 et durant les quelques années qui ont suivi, certains prétendaient imposer, en lieu et place de la morale traditionnelle condamnant le sexe, une autre, obligeant impérativement à le pratiquer, qu'on le souhaite ou non.

Le milieu d'intellectuels “révolutionnaires” que je fréquentais alors, était imprégné par cette prétendue “liberté sexuelle” machiste... qui commandait à une femme à qui on proposait directement de coucher, d'accepter, même si l'homme lui déplaisait. C'était, en quelque sorte, le “prix” qu'elle devait payer pour ne pas paraître “ridicule”, “coincée”, “vieux jeu”.

Puis vint leSIDA, accueilli, avec des cris de joie, par les moralistes puritains.

Dieu se réveillait enfin et remettait de l'ordre! «Si tu t'adonnes au sexe libre et maudit, tu connaîtras l'enfer de la maladie horrible sur Terre et la mort au bout» !

Hourra ! Vive le Saint SIDA !!!

pantruche paris
Photo prise lors du Carnaval de Paris, Les Fumantes de Pantruche 2008



Durant environ deux décennies, ça a marché. La terreur médicale servant de socle à la terreur morale. La“fidélité”, c'est à dire la subordination de la femme à l'homme, revenait à grands pas!

Car la liberté sexuelle, l'homme l'a toujours connue. Comme c'était lui qui avait le pouvoir, il aurait été trop bête de s'en priver !

Mais voilà, la persévérante taupe féministe a continué, patiemment et consciencieusement à creuser sous les remparts de la forteresse machiste déjà sérieusement endommagée. Les dégâts nouveaux se sont ajoutés aux dégâts anciens...

A présent, une nouvelle génération de femmes et jeunes filles est là. Qui ne marche plus du tout dans la combine du puritanisme machiste à la sauce trithérapique.

En face, c'est la panique !
D'innombrables hommes, devant cette situation, se désespèrent. Ils se réfugient dans la solitude, la masturbation frénétique, la pornographie, l'homosexualité organisée. Tout est préférable à la rencontre avec la terrifiante réalité: l'esclave tremblante d'hier est devenue son tranquille alter ego et n'a plus aucune envie de se laisser marcher sur les pieds.

On voit même des hommes allant jusqu'à se proclamer “transsexuels”, niant leur identité d'hommes et affirmant être des femmes !

On pratique également la “délocalisation sexuelle”. On va chercher des jeunes filles et jeunes femmes dans des pays où l'ancienne morale a encore cours et on les importe en France.

Epouses traditionnelles ou prostituées, on peut, avec elles, satisfaire son besoin pervers et apeuré de domination sexuelle.

Il serait temps que l'ensemble des hommes - et plus seulement quelques-uns, - devienne adulte, majeur, conscient, responsable.

Messieurs, le pouvoir des hommes, c'est terminé. Chapeau ba set saluons la nouvelle venue dans la société civile: la femme, notre égale, que nous avons, durant cinq mille ans et plus, cherché à écraser, avilir, nier, utiliser, exploiter, massacrer.

Une prisonnière n'est pas libre. Un geôlier n'est pas libre.

En se libérant, la prisonnière libère le geôlier.

Sortons de la barbarie et construisons ensemble, enfants, femmes et hommes, la société libre de demain.

Basile PACHKOFF
Ancien élève de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris
Initiateur de la renaissance de la Corda Fratres

14 rue des Thermopyles
33 (0)6 26 67 76 39

75014 PARIS
33 (0)9 53 72 16 61


Le site Internet officiel du Carnaval de Paris est : www.carnaval-paris.org



LA SECTION
«LE FOUTOIR »
EST PRÉSENTÉE PAR :

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LES HEBDOS RÉGIONAUX DE QUÉBÉCOR

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Ça s'en vient...

Camarades de la cohérence et de l'incohérence,
le parti NeoRhino arrive près de la première étape
pour nous mener vers la possibilité de créer
la plus grande et la plus folle aventure politique
que le monde ait connu.

Nous allons parler à la terre entière
via ce merveilleux véhicule idéaliste.

Camarades poètes et autres amants et amantes des mots,
des émotions et toute autre envie de vivre et de dire nos cris du coeur,
nos folies et nos envies de jouir et de faire la réfolution.

À défaut de prendre le pouvoir,
prenons le controle du ton et du message de la prochaine campagne.

Nous en sommes maintenant à l'étape de recruter des personnes
qui se présenteront sous le portail d'idées créatrices que sera le parti NeoRhino .

Anarchistes, humanistes, utopistes, artistes et tout autre être humain
qui a envie de joindre la grande mascarade à venir.

www.neorhino.ca

 

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